Chapelle Saint-Guen
En 1952, le lambris de la chapelle se délabrait.
Comme les chapelles de Saint-Corentin et de Saint-Fiacre furent également délabrée rapidement, le recteur souligna : "Ce qui fera trois pardons de moins à célébrer, pardons misérables comme les chapelles. L'art n'y perd absolument rien".
Des comités de sauvegarde se sont constitués et ils ont déjá travaillé à débarrasser la chapelle des végétations parasites.
Extrait de "Eglises et chapelles du Pays de Baud" du chanoine Jean Danigo, UMIVEM 1974