Chapelles disparues
- chapelle de la Madeleine (17e)
- chapelle Sainte-Barbe
- chapelle Saint-Thomas (17e, située jadis au petit Carhaix)
- chapelle de Saint-Antoine
- chapelle de Saint-Quijeau ou Saint-Quijau (ancienne église
trèviale). Deux petites chapelles, dont une dédiée à sainte Barbe, lui
étaient
contiguës, et la rue qui y conduisait portait le nom de rue des
Trois-Chapelles.
- chapelle Saint-Thomas (située jadis dans la paroisse de Plouguer)
- chapelle Sainte Catherine : ancienne chapelle trèviale en ruines
donnée aux Hospitalières en 1810, aujourd'hui en Plounévézel.
- chapelle Saint-Pierre, près de la mairie ; servait de chapelle de
congrégation pour les hommes.
- chapelle de Saint-Eloy, cette chapelle figure au rôle des décimes
en 1780, mais devait exister dans l'église paroissiale et appartenait à
la confrérie de Saint-Eloy
- chapelle Saint-Crespin, figure au rôle des décimes on 1780 ;
devait exister dans l'église paroissiale et appartenait à la confrérie
des cordonniers.
- chapelle de Notre-Dame du Frout, existait au 17e siècle et
subsiste encore en 1904 ; en 1806, M. Le Coz dit que c'est « une des
plus jolies chapelles qu'il y ait dans tout le pays ».
- chapelle Notre-Dame, où se réunit, le 13 octobre 1533, le
chapitre de la cathédrale de Quimper à cause de la peste régnant dans
cette ville, « in aede Beatae Mariae Virginis de capella oppidi de
Kerhaës ».
- chapelle Saint-Hervé, ancienne chapelle près de la communauté des
Carmes